La parodie d'Oliver,De chagrin d'amour à un rien d'amour

La parodie d'Oliver

De chagrin d'amour à un rien d'amour

5 heures du mat' y'a un chaton

qui râpe l'visage et qui fait des bonds.

Deux sur le lit :

Oliver m'casse les pieds,

j'suis endormie

Sommeil cassé. 

Je fais la tête,

ses croquettes n'seront consommées

qu'en fin d'matinée.

C'est son prétexte pour se remplir le bide

Sir oliver,oliver,oliver

Parfois Oliver m'exaspère,

mais pourquoi a t-il s'caractère ?

j'suis en vrac,il est beaucoup, beaucoup trop tôt

Pitou et Minidoux font encore dodo.

Oliv fait sa crise.L'innocence

d'un p'tit être mais s'il recommence

 Yeah, Yeah, Yeah 

Ce coup ci j'resterai couché

OU PAS 

OLIVER fait, fait 

c'qu'il lui plaît, plaît, plaît 

Version originale :
http://www.bide-et-musique.com/song/109.html

5 heures du mat' j'ai des frissons, 
Je claque des dents et je monte le son, 
Seul sur le lit 
Dans mes draps bleus froissés 
C'est l'insomnie, 
Sommeil cassé. 
Je perds la tête, 
Mes cigarettes sont toutes fumées 
dans le cendrier 
C'est plein de Kleenex et de bouteilles vides, 
J'suis tout seul, tout seul, tout seul. 
Pendant qu'Boulogne se désespère 
J'ai d'quoi m'remplir un dernier verre. 
Clac ! fait le verre en tombant sur le lino. 
J'm'coupe la main en ramassant les morceaux. 
Je stérilise, les murs qui dansent, 
L'alcool ça grise et ça commence… 
Yeah, Yeah, Yeah, Yeah 
font les moutons, sur le parquet

Mais j'e n'ai pas cédé et Oliver a boudé toute la matinée dans un coin de ma chambre... 

alors que Ti-minette, 
elle, préférait la méthode "hard".

Installée sur l'accoudoir du canapé, elle mâchouillait le bout des feuilles de l'Aréca (son "arbre" à chat géant) les yeux exorbités, l'air mauvais, voûtée comme une hyène... 

La méditation n’est pas une évasion mais une rencontre sereine avec la réalité.

THICH NHAT HANH

Bonne soirée,
Virginie et le trio magique

 

Il y a un an...

En mai 2010,
En 3 semaines la mort a soufflé sur ma vie comme "en château de cartes".
Mais fallait-il que tu partes 
dans une terrible agonie 
pour que je puisse admettre que c'était fini ?  
Fifi et toi
je vous ai aimé sans détours
avec tellement d’amour
que seul mon coeur a parlé
mais vous vous êtes en allé....

Même me dire que le malheur est ailleurs,
n'a pas atténué ma vive douleur.
Ces heures si lourdes, lentes et pesantes 
réveillant votre absence
avec tellement de violence.
Vivre avec ce silence...

Du p'tit coulou aux câlins embêteurs,
ces instants précieux qui rythmaient ma vie. 
Ce petit bonheur
pétillant, plein d'étincelles.

Ne plus jamais 
m’enivrer d'effluves de chat feignassou, 
ni de copeaux de bois,de cannelle, de p'tit pissou.  

Mais
Plus de voyage périlleux de ma soupe, 
ni de début de film que je ne loupe. 
Et plus jamais d'attaques de "traître" à la Ti-minette
Ah, que cette partie de ma vie je la regrette !

Maintenant
Ti-minette, ton vaste territoire 
se révèle si terrifiant dans le noir, 
depuis que tu ne rôdes plus dans chaque pièce
où tu supposais être la maîtresse
des lieux.

Adieu

grosse et petite boule de poils préférées,
aujourd'hui, j'ai le coeur si serré.

Poème dédié à Ti-minette